De passage au Kenya pour observer les spéciales du prochain Safari Rally, la FIA par l’intermédiaire de Michèle Mouton, a estimé que le parcours actuel devait être durci pour mieux coller à l’histoire de cette épreuve.
“La route était parfaite mais elle pourrait être améliorée et la rendre plus difficile pour les pilotes, tout en gardant la sécurité à l’esprit. Le parcours est un mélange de lignes droites, de virages larges et de vallées au pied du “Mount Longonot” dans une savane africaine typique, selon Mouton.” d’après le communiqué officiel de l’épreuve.
Par ce constat, la française démontre bien que le Kenya n’a plus grand chose à voir par rapport aux éditions passées, et devra de toute façon, se limiter au maximum à 350 km, soit trois fois moins que la dernière édition WRC au Kenya en 2002.
L’organisation du Safari Rally a bien reçu le message et s’apprête à effectuer des changements pour “l’épreuve candidate” en juillet prochain.
“Le travail va continuer et ses propositions de changement (de Michèle Mouton) pour rendre le parcours plus compétitif et sûr, vont être intégrés pour le Safari Rally 2019 entre le 5 et 7 Juillet cette année.”
En juillet justement, Michèle Mouton sera de retour au Kenya et officiera en tant que voiture ouvreuse pour inspecter en détail cette épreuve : “Il est certain que l’Afrique mérite une manche du championnat du monde des rallyes.”
Est -ce qu’on a le droit de dire que c’est nul, nul et nul ???aujourd’hui le wrc c’est :
– parquer des spectateurs dans des lieux ultras sécurisés pour n’avoir aucun accident ni autres surprises et ”l’essence ” du safari rallye c’était les grands espaces en toute liberté avec des t’as de surprises ! !
La FIA a une raison d’aller au kenya mais pour l’instant, elle nous échappe. …
Je pense que pour mieux coller à l’histoire le monte carlo devrait se durcir…..