Au coeur de la “pause” entre la Suède et la Croatie, la FIA a annoncé de nouvelles mesures concernant l’abandon forcé d’une Rally1 à cause de problèmes liés au kit hybride, réduisant la pénalité par spéciale non disputée à “seulement” deux minutes.
Dans un entretien avec le média finlandais Rallit, le Finlandais a commenté cette nouvelle règle, applicable dès le prochain rallye de Croatie.
“Nous avons accepté cette nouvelle mesure avec un sentiment plutôt positif. Après tout, la situation est assez difficile, quand, par exemple, Tänak doit abandonner alors que les feux rouges se sont allumés (en Suède). Le fait est que la situation ne change pas dans le sens où si les feux s’allument, vous n’êtes plus en lice pour la victoire. Les choses sont claires là-dessus.” a commenté Jari-Matti au média finlandais Rallit.
Mais avec une pénalité largement réduite, celle-ci étant de dix pour un abandon “normal”, un concurrent victime d’un problème lié au kit hybride en fin de journée, pourra encore sauver quelques points.
“Maintenant, cependant, il est possible que si l’arrêt se produit alors qu’il y a deux épreuves spéciales avant la fin de la journée, vous ne preniez pas plus de quatre minutes de pénalité. Il y a encore de la place pour prendre quelques points. D’une certaine manière, toute la course n’est pas terminée.”
À l’issue du rallye de Suède, les trois équipes engagées au championnat constructeurs avaient justement demandé à la FIA d’adapter le règlement des Rally1 face à ce problème de fiabilité. Selon le Finlandais, la pénalité aurait pu être encore plus faible.
“Il a principalement été discuté de savoir si la pénalité de temps serait d’une minute ou de deux. Apparemment, deux minutes étaient perçues comme une meilleure solution.
Cela aurait été plus juste si la règle avait été la même depuis le début de la saison. La FIA a peut-être été un peu trop confiante en pensant que les kits hybrides n’auraient pas de problème. Même si ce type de solutions a déjà été utilisé dans des disciplines électriques, le rallye a ses particularités. Il y a du gel et de la chaleur dans le rallye, des sauts et des réception ainsi que de nombreuses sortes de vibrations. La période de tests a été de seulement six mois. Par rapport à cela, le travail était un peu trop difficile.”
Un bel exemple de la différence entre les “administratifs décideurs” adeptes du pas de soucis ça va bien se passer et les “techniciens et équipages” sur le terrain qui doivent se dépatouiller avec la Patate chaude
un fiasco de plus de la FIA ! des specialistes de la piste soit un monde hors sol, artificiel….