En Croatie ce week-end, Pirelli avait apporté son pneu RWB, déjà proposé l’an passé et utilisable sur des surfaces extrêmement humides.
Et autant dire que la journée aura été très compliquée pour ce pneu du constructeur italien, les concurrents enchaînant les crevaisons alors que seulement huit pneus étaient à disposition de chaque équipage. L’an passé, Pirelli avait également connu un rallye de Croatie très compliqué, imputant ses problèmes à des soucis de jantes à cause du mauvais état de l’asphalte et des bosses. Cette fois, Terenzio Testoni, responsable des activités rallye chez Pirelli, a justifié les nombreuses crevaisons par des cordes bien plus profondes que d’habitude.
“La journée d’aujourd’hui s’est déroulée dans des conditions d’asphalte vraiment extrêmes qui étaient à la limite, ce qui a surpris quelques personnes. En raison de la faible adhérence et des routes glissantes, mais aussi de la quantité d’eau et de boue sur le sol, les pilotes avaient tendance à effectuer des coupes encore plus profondes que d’habitude, endommageant parfois non seulement les jantes mais aussi leurs pneus. Cela aurait été une histoire similaire dans ces conditions, même avec des pneus terre. Par conséquent, il n’est pas surprenant que les trois premiers pilotes classés aient été près d’une seconde par kilomètre plus lents sur les spéciales de l’après-midi qu’ils ne l’étaient exactement sur la même boucle le matin.”
Il faudrait se poser la question sur les trajectoires prises par les voitures qui vont jusqu’à être totalement hors de la chaussée, pourquoi pas couper tous les virages et rouler en ligne droite.
Ceci n’enlève rien à la responsabilité de Pirelli pour ce qui concerne la fragilité de ses pneus.
Nous dire que l’asphalte était à la limite ? les ornières plus profondes, cela me fait rire..
Pirelli c’est de la MERDE !
c’est pas nouveau et meme en F1, ce sont des pneus capables de dejanter et qui sont incomprehensibles dans leur fenetre de fonctionnement.
le rallye devrait etre une bataille pour le meilleur pneu et pas du marketing à coup de valises de dollars pour l’exclusivité.