ES5- Gilbert troisième (Touquet)

uet, identique à l’an dernier. Départ rapide et large en montée avec deux chicanes pour casser la vitesse avant de récupérer un petit VO aux éoliennes. Descente ensuite jusqu’à un croisement à droite où l’on récupère une grande route à Frencq. Grande route sans grand intérêt très rapide avec un nouveau petit VO qui descend jusqu’à une double bosse au lieu-dit Rosamel. La fin du parcours récupère une route large avec quelques portions de goudron noir.

FAITS MARQUANTS
A 137 km/h de moyenne, Julien Maurin signe le scratch dans cette spéciale de Camiers et augmente son avance en tête face à Jean-Marie Cuoq. A l’issue de ce premier chrono de nuit, le pilote Ford compte désormais 9s5 de marge sur le pilote Citroën.

Auteur du scratch dans l’ES4, Quentin Gilbert s’empare de la troisième place malgré une rampe de phare largement endommagée.

Pour Eric Brunson, cette boucle s’annonce difficile avec encore un chrono à 1s/km du scratch. Le pilote normande pointe à plus d’une minute de la tête !

Du côté des Porsche, Gilles Nantet améliore largement par rapport à ce matin et passe devant Patrick Rouillard pour la tête du trophée Michelin.

En 208 Rally Cup, rien ne bouge avec Stéphane Lefebvre en tête devant Charles Martin et Cédric Cherain. Pour la quatrième place, la bagarre promet d’être belle entre Camilli, Ingram, Dubert et Leandri qui sont regroupés en quinze secondes.

REACTIONS DES PILOTES (FFSA)
Julien Maurin : « Ce matin, il n’y avait pas grand-chose à gratter avec des virages à fond, là je les ai passés à fond encore, c’est un truc de fou. J’ai pu gagner un peu de temps. »
Jean-Marie Cuoq : « Ca va, il y a un peu de brouillard mais ce n’est pas gênant. »
Eric Brunson : « J’ai un problème avec le frein à main qui commande la stratégie de départ. Donc j’ai du mal à prendre les départs. »
Pierre Roché : « J’ai fait le même choix que ce matin, des pneus durs. Ca ne va pas trop mal. »
Lionel Baud : « Je réduis l’écart mais je suis toujours pénalisé par mes problèmes moteur. »
Patrick Rouillard : « On roule entre chien et loup, ce n’est pas évident. Il y a beaucoup de gravette qu’on ne voit pas. »
Gilles Nantet : « C’est compliqué quand tu accélères et que ça n’avance pas. Elle patine sans arrêt. »
Quentin Gilbert : « J’ai abimé la rampe de phare dans la super spéciale. Ca ne m’a pas trop gêné dans cette spéciale. J’ai bien roulé. »
Stéphane Lefebvre : « La route est sale, avec beaucoup de graviers. J’essaie de prendre de l’avance mais ça va être compliqué. »
Emmanuel Guigou : « Je n’ai pas bien roulé. Je n’ai pas été assez vif. »
Laurent Bayard : « J’améliore de quatre secondes, j’ai bien roulé. »

PROCHAINE SPECIALE : ES6- Airon – Campigneulles (9,31 km) à partir de 19h22 (Vendredi 14 mars 2014)

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