Il n’aura donc fallu que deux étapes pour Fernando Alonso rencontre ses premières galères pour ses grands débuts sur le Dakar.
Après une première étape abordée prudemment pour continuer à prendre ses marques (onzième à 15min27 du vainqueur), le double champion du monde de Formule 1 a connu ses premiers vrais ennuis mécaniques entre Al Wajh et Neom ce lundi.
Parti sur un très bon rythme le plaçant dans le top 10 jusqu’à kilomètre 160, l’espagnol a connu un véritable coup d’arrêt en arrachant la roue avant gauche de son Toyota Hillux. Un choc lié au manque de visibilité dû à la poussière des autres concurrents.
“Le problème aujourd’hui n’était pas pour nous la navigation mais la visibilité. On ne voyait rien derrière les autres voitures. C’est ce qui m’a valu de taper quelque chose avec la roue avant et de perdre ainsi pas mal de temps.”
Relégué désormais à une 63e place anecdotique à plus de 2h30 du leader, Fernando Alonso n’a pas eu de mal à cacher sa petite déception derrière un optimisme désormais de rigueur pour continuer à apprendre une discipline dont il découvre jour après jour les subtilités.
“Ça n’est pas une bonne journée, mais je suis malgré tout heureux, je suis là pour finir mon premier Dakar, c’est l’objectif. On a fait 700 km, il en reste 5000, ça nous laisse du temps pour essayer de refaire notre retard. Je suis content de ma pointe de vitesse, comme au Maroc. Elle est même un peu meilleure que ce que à quoi je m’attendais. Marc fait par ailleurs du super boulot malgré le fait que la navigation est difficile. On a eu une mauvaise journée en termes de résultat, mais bonne en termes de sensations. Franchement je m’amuse bien ici, il y a une bonne ambiance, les gens s’entraident.”
C par du circuit la !!!@ il a critiqué du monde et au bout du deuxième jour il tape !!@ blerau