ES3- Bonato et les autres (Rouergue)

7 juillet 2017

ES3- Campouriez – Le Nayrac (35,30 km) à partir de 16h09 (Vendredi 7 Juillet 2017)

Après la deuxième spéciale, Yoann Bonato conserve la tête du classement général, malgré son tête à queue (ES2), face à Hayden Paddon. Le pilote du team CHL mène avec 22.6 secondes d’avance sur le pilote Hyundai officiel. Derrière les deux hommes de tête, Quentin Giordano complète le podium provisoire tout en menant le trophée Michelin.

Dans le trophée Clio R3T, Cédric Robert devance de 9.5 secondes Florian Bernardi. À la troisième position, on retrouve le pilote hollandais Kevin Van Deijne à déjà plus d’une minute du leader.

En 208 Rally Cup, la lutte fait rage même si Laurent Pellier a repris un peu de marge face à Karl Pinheiro et Quentin Ribaud.

Ce matin, c’est Yoann Bonato qui a signé le meilleur temps en 20:00.7.

FAITS MARQUANTS

Leader jusque là, Yoann Bonato profite de la crevaison de Hayden Paddon pour creuser l’écart en tête. Avec 46 secondes perdues dans cette spéciale pour le pilote Hyundai, la marge du pilote du team CHL passe à 1min9s au classement général.

Dixième jusque là, Eric Mauffrey est sorti de la route. La 208 T16 s’est posé dans un champs et n’a pas pu revenir sur la route.

Non satisfait de son rythme dans cette spéciale, Cédric Robert lâche 1.5 secondes à Florian Bernardi qui reste au contact. Le vauclusien revient à 8 secondes du leader au classement du trophée Clio R3T.

En 208 Rally Cup, Laurent Pellier conserve la tête pour 8.6 secondes face à Karl Pinheiro. Quentin Ribaud reste en embuscade à 9.4 secondes du leader. Fautif ce matin, Efren Llarena signe le meilleur temps et se maintient à moins de 17 secondes au classement général.

Dans le groupe F2000, Xavier Besson augmente sa marge à 10.3 secondes face à Dommerdich. Suite à la crevaison de Christophe Sichi, Pierre Lerosier hérite des commandes du groupe A.

REACTIONS DES PILOTES

Bonato	“C’est vachement glissant. On a essayé d’être prudent pour éviter les petites erreurs.”
Paddon	“On a tapé une petite pierre malheureusement à 10 kilomètres de l’arrivée.”
Giordano	“On a fait quelques petites erreurs à la sortie de quelques virages.”
Gal	“On n’a pas fait d’erreurs.”
Vigion	“C’est pas mal. C’est très piégeux mais je ne prends pas de risques.”
Puppo	“C’est difficile à encaisser… On n’a pas le niveau, c’est tout.”
Berfa	“Ca a été super dur. On s’est tanqué dans la première épingle. Ca a été la spéciale la plus dure de ma vie.”
Gryazin	“C’est difficile de voir ou il y a du grip.”
Rouillard	“C’est vraiment pourri, entre les graviers et le goudron noir…”
Dommerdich	“J’ai roulé plus sereinement. Il y a des pièges partout. Je roule sans ouvreur en plus.”
Roche	“On a pointé en retard, on risque d’être mis hors course.”
Robert	“C’est beaucoup plus sale que tout à l’heure. J’espère que je n’ai pas roulé sur un faux rythme.”
Bernardi	“On a encore changé les réglages, ça va mieux. C’est symbolique mais c’est déjà ça, on reste au contact.”
Van Deijne	“Ca a été une spéciale difficile. Le but est maintenant de viser la troisième position.”
Tozlanian	“Je n’avais plus de radio, je suis dégouté.”
Pellier	“C’était dur. Il y a des virages ou il y du grip, et d’autres ou il n’y en a pas.”
Ribaud	“On a fait un tête à queue, on perd 10 secondes au même endroit que ce matin. C’est con.”
Magnou	“C’est hallucinant, au final, il y a du grip. Je sais ou je perds les 10 secondes.”
Pinheiro	“Apparement on tient le rythme. C’est pas mal même si je commence à avoir mal à la tête.”