ES4- Maurin passe en tête (Terre de Lozère)

26 août 2017

ES4- Ville de Mende (11,80 km) à partir de 15h07 (Samedi 26 Août 2017)

Au terme de la boucle matinale, Jean Marie Cuoq mène les débats pour 5.6 secondes face à Julien Maurin. Derrière les deux hommes de tête, les écarts sont faits puisque Lionel Baud pointe à plus de 37 secondes du leader.

FAITS MARQUANTS

Julien Maurin profite de l’erreur (tout droit) de Jean Marie Cuoq pour prendre la tête du rallye. Le pilote de la DS3 WRC compte 6 secondes d’avance sur l’ardéchois.

Sur la dernière marche du podium, Lionel Baud consolide son avance face à Simon Jean Joseph qui retrouve peu à peu ses marques au volant d’une WRC sur la terre.

Dans le groupe R, Frantz Comoli s’échappe en tête. En lutte aux avant-postes ce matin, Jean Marc Falco a dû composer avec un début d’incendie dans la Mitsubishi Lancer Evo 9.

Large leader du groupe N, Arnaud Mordacq a connu une alerte dans ce chrono suite à un choc dans un trou. La Mitsubishi pourrait bien avoir souffert dans la mésaventure.

En 208 Rally Cup, Efren Llarena et Laurent Pellier restent en bagarre, l’espagnol consolidant légèrement son avance (13 secondes) à l’issue de cette quatrième spéciale.

Dans le championnat Junior, Jean Baptiste Franceschi profite de la reprise pour s’échapper au classement. Romain Di Fante occupe la deuxième place à près de 12 secondes tandis que Hugo Margaillan complète le podium. Dans le rythme ce matin, Audric Chantriaux perd plus de 4 minutes dans ce chrono et dégringole au classement.

REACTIONS DES PILOTES

Berfa	“Là, il y a tout qui fonctionne, je suis un peu déçu du temps, je pensais faire mieux et améliorer.”
Maurin	“Les amortisseurs sont trop durs, la route est beaucoup plus creusée, ça devient plus difficile.”
Cuoq	“J’ai fait un tout droit sur de l’huile, j’ai du manoeuvrer… Je perds du temps.”
Baud	“On est content, on apprend vite.”
Jean-Joseph	“C’était bien détruit, il y a beaucoup de pierres, je suis sur la défensive. C’est un ré-apprentissage.”
Ferraud	“La piste est creusée, ça donne beaucoup de rebond. On peut vite faire une erreur.”
Rousset	“C’était un peu difficile, j’ai sur-conduit par moment.”
Mordacq	“J’ai tapé fort dans un trou, je ne sais pas ce qui c’est passé. On va regarder l’état de la voiture.”
Petit	“Nous avançons doucement, il y a plus d’ornières.”
Comoli	“Le terrain n’est plus du tout le même, c’est très cassant, je ne sais pas du tout.”
Besson	“C’est un peu plus compliqué que ce matin, malgré tout nous améliorons notre temps de ce matin.”
Falco	“Nous avons du nous arrêter suite à un début d’incendie dans la voiture.”