Candidat annoncé à une ré-intégration au championnat du monde des rallyes, le Safari Rally va organiser une épreuve test du 4 au 7 juillet prochains.
Cette date en juillet a été définie après consultation avec le promoteur du WRC, désireux de se déplacer sur cette épreuve pendant une période “tranquille” du calendrier. D’autre part, de nombreux pilotes et équipages pourraient également en profiter pour faire le déplacement et ainsi découvrir et repérer cette épreuve.
Chef de projet de cette organisation, Phineas Kimathi, confirme cette idée : “De nombreux pilotes aimeraient venir au Kenya pour faire des reconnaissances, et le promoteur du WRC sera également disponible pour venir observer le Safari. Nous avons voulu profiter de cette pause de mi-saison.”
A ce stade du projet, le parcours reste totalement à définir puisque quatre régions bien différentes sont à l’étude : Kajiado, Nanyuki, Naivasha et Nakuru. La première nommée est celle la plus connue des fans du WRC puisque les anciens Safari Rally se disputaient majoritairement dans cette zone bordant la Tanzanie et son célèbre Kilimandjaro. La quatrième région citée, celle de Nakuru, a accueilli le dernier Safari Rally, disputé du 16 au 18 mars derniers.“Michèle Mouton inspectera les parcours autour des quatre régions citées et donnera ses préférences à la fin de sa visite.” précise Kimathi.
Pour rappel, le Kenya souhaite intégrer le calendrier du WRC à partir de la saison 2020 avec un premier accord d’une durée de trois ans.
C’est marrant quand même… en Turquie un des gros problèmes c’était la dé-mo-cra-tie…
Aucune voix à ce jour ne soulève l’ombre d’un problème identique pour le Kenya, ce qui est quand même curieux vu que les 2 pays sont très très proches sur l’échelle de démocratie…
https://en.wikipedia.org/wiki/Democracy_Index
Cela tend à me confirmer mon intuition de base, la démocratie importe si il s’agit de dénoncer un pays mu-sul-man, sinon on s’en tape 😀
!! Les constructeurs, les teams nous parlent des coûts et de retombées économiques. … ok… mais alors…Quelles seront les retombées économiques dans un pays de 78 millions d’habitants dont la moitié vivent sous le seuil de pauvreté, et n’ont ni accès à l’eau potable ni à l’électricité ! Va t’on en vendre tant que ça des yaris, fiesta et compagnie ?!?!?