L’oeil de l’ingénieur (Tour de Corse)
Dans cette première chronique “L’oeil de l’ingénieur”, Cédric Mazenq vous décrypte le Tour de Corse, première épreuve 100% asphalte du championnat du monde 2019.
Dans cette première chronique “L’oeil de l’ingénieur”, Cédric Mazenq vous décrypte le Tour de Corse, première épreuve 100% asphalte du championnat du monde 2019.
Jusque là, l'analyse technique n'était pas vraiment notre fort, et très rarement abordée sur le site.
Grand absent du Monte-Carlo en début d’année, Eric Camilli effectuera son début de saison sur les routes du Tour de Corse la semaine prochaine. Comme en Catalogne en octobre dernier, le français pilotera une Volkswagen Polo GTi R5, une auto qu’il a développé.
La semaine dernière au Touquet, Adrien Fourmaux a vécu la plus grosse sortie de route de sa carrière, mais le pilote nordiste, pourtant touché après cet accident, sera bien au départ du Tour de Corse la semaine prochaine.
Au coeur d’un week-end très riche, les R5 ont souvent écrasé les courses et les “petites” voitures n’ont eu que des miettes. Sixième à l’arrivée du rallye national de la Vienne, Julien Rambault, engagé au volant d’une Mégane RS, a eu notre préférence pour la cette nouvelle perf’ du week-end.
Ce week-end au Touquet, la tâche d’Adrien Van Beveren, star du rallye-raid en deux roues, ne s’annonçait pas simple, le pilote nordiste découvrant totalement le rallye en compétition.
Lancé dans une troisième saison en championnat de France Junior, Victor Cartier a remporté sa première victoire dans ce championnat au rallye du Touquet, battant notamment Hugo Margaillan, vainqueur sortant du Junior en 208 Rally Cup.
Malchanceux l’an passé sur ce terrain, Quentin Gilbert a pris sa revanche ce week-end, terminant en boulet de canon pour finalement arracher la deuxième place face au double champion de France asphalte en titre, Yoann Bonato.