Tops et Flops (Monte-Carlo 2019)
Certains se demandaient si 2019 arriverait à la cheville de 2018 en terme d’intensité et de suspense, le Monte-Carlo a déjà répondu à une partie de la question. Vite la suite !
Certains se demandaient si 2019 arriverait à la cheville de 2018 en terme d’intensité et de suspense, le Monte-Carlo a déjà répondu à une partie de la question. Vite la suite !
Champion du monde Junior 2017 face à Nicolas Ciamin notamment, Nil Solans repart pour un programme au volant d’une Ford Fiesta R5, comme l’an passé.
Il aura suffit d’un seul week-end et même d’une seule journée, pour voir à quel point M-Sport allait souffrir de l’absence de Sébastien Ogier cette année.
En vingt années de compétition, Citroën a rapidement affolé les compteurs, s’imposant finalement comme le constructeur le plus titré en championnat du monde. Au Monte-Carlo dimanche dernier, l’équipe française a atteint le nombre symbolique de 100 victoires en WRC.
Rapidement débarrassé de la menace Rovanperä, Gus Greensmith a été impérial au Monte-Carlo, remportant le WRC-2 Pro mais aussi la classe R5 grâce à une superbe septième place au scratch.
Il fallait avoir le coeur bien accroché pour suivre les résultats de Nicolas Ciamin sur ce Monte-Carlo. Sa course a été une succession de hauts et de bas, entre grosses performances et multiples crevaisons.
Pour sa première participation en WRC, deux ans seulement après ses débuts en rallye, Adrien Fourmaux n’a pas déçu, ramenant sa Ford Fiesta R5 à une superbe dixième place au scratch, la deuxième en WRC-2.
S’il a bien perdu des points face à ses rivaux pour le titre, Ott Tänak n’en a pas moins encore impressionné ce week-end, affichant la même forme qu’en fin de saison dernière.